Une journée mémorable sous la présidence de Rachida KAAOUT et coordonnée par Denis BOUCLON
Un événement marquant à l’Institut du Monde Arabe
Le samedi 22 mars 2025, l’Institut du Monde Arabe à Paris s’est transformé en véritable carrefour des cultures africaines et arabes à l’occasion de la première édition du « HCDAF Women’s Summit – Prix Makéda« . Cet événement d’envergure, placé sous le thème « Audace & Ambition : vers un leadership féminin« , a réuni plus de 250 participants dans un cadre prestigieux, symboliquement rebaptisé « Institut du Monde Africain » pour cette journée exceptionnelle.
Cette initiative d’envergure a été portée par Mme Rachida KAAOUT, Présidente du Haut Commissariat des Diasporas Africaines de France (HCDAF), qui a insufflé sa vision d’un leadership féminin fort et inclusif. À ses côtés, Denis BOUCLON, Secrétaire Général de l’institution, a assuré la coordination opérationnelle de l’événement. Cette collaboration étroite entre la Présidence et le Secrétariat Général a largement contribué au succès retentissant de cette première édition.
Le choix de l’Institut du Monde Arabe comme lieu d’accueil n’était pas anodin. Comme l’a souligné Mme KAAOUT dans son allocution d’ouverture : « Ce lieu emblématique incarne parfaitement les ponts culturels et historiques que nous souhaitons célébrer et renforcer. En le transformant symboliquement en Institut du Monde Africain le temps d’une journée, nous affirmons notre volonté de dialogue et d’enrichissement mutuel entre ces deux mondes aux racines communes. »
« Notre ambition commune était de créer un espace de célébration et de valorisation des parcours féminins d’exception, » a poursuivi Mme KAAOUT. « À travers ce sommet, nous affirmons notre engagement pour un leadership inclusif, représentatif de la richesse et de la diversité des diasporas africaines en France. »
Denis BOUCLON a complété cette introduction en présentant les objectifs concrets de la journée : « Ce Women’s Summit a été conçu comme un espace d’inspiration, de partage et de networking. Au-delà des distinctions honorifiques, nous avons souhaité créer un véritable écosystème favorable à l’émergence de nouvelles dynamiques de leadership au féminin. »
Le Prix Makéda : une reconnaissance prestigieuse aux racines historiques profondes
Le point culminant de la journée a sans conteste été la cérémonie de remise du Prix Makéda, une distinction imaginée par Rachida KAAOUT et mise en œuvre avec le soutien de Denis BOUCLON pour honorer des femmes dont les parcours exemplaires inspirent et ouvrent la voie à de nouvelles générations de leaders.
Ce prix tire son nom de la Reine de Saba, figure historique et légendaire connue sous le nom de Makéda dans la tradition éthiopienne. Comme l’a expliqué Mme KAAOUT lors de la présentation du prix : « Makéda incarne cette alliance unique de sagesse politique, d’intelligence stratégique et de rayonnement culturel que nous souhaitons célébrer. Son règne légendaire nous rappelle que le leadership féminin n’est pas une innovation moderne mais s’inscrit dans une tradition millénaire africaine que nous nous devons de faire revivre et de valoriser. »
Douze lauréates d’exception ont été distinguées lors de cette cérémonie, parmi lesquelles trois personnalités particulièrement remarquables :
- Kanizat Ibrahim, membre du Conseil de la FIFA, récompensée pour son engagement exceptionnel dans la promotion du football féminin et son influence au sein des instances dirigeantes du sport mondial. Son parcours illustre la capacité des femmes africaines à investir et transformer des domaines traditionnellement masculins.
- Ibtissam Chakara, honorée pour sa résilience exemplaire et son engagement indéfectible auprès des communautés vulnérables. Son action dans le domaine social démontre l’impact transformateur du leadership féminin sur les problématiques sociétales les plus complexes.
- Nawal El Moutawakel, athlète marocaine légendaire, première femme africaine, arabe et musulmane à remporter une médaille d’or olympique, reconnue pour son parcours pionnier dans le sport féminin et son influence sur des générations de femmes à travers le monde. Son héritage transcende le domaine sportif pour devenir un symbole d’émancipation et de dépassement des barrières culturelles.
Denis BOUCLON a apporté un éclairage particulier sur le processus de sélection rigoureux des lauréates : « Un comité d’experts indépendants, composé de personnalités issues des mondes académique, économique, culturel et associatif, a été constitué pour évaluer les candidatures selon des critères précis : impact sociétal, innovation, exemplarité du parcours et potentiel d’inspiration pour les générations futures. »
Lors de la remise des prix, Mme KAAOUT s’est exprimée avec émotion : « Cette première édition du Prix Makéda marque un tournant décisif dans notre engagement pour la valorisation du leadership féminin au sein des diasporas africaines. Les femmes que nous honorons aujourd’hui ne sont pas seulement des modèles de réussite individuelle, elles incarnent cette force collective qui transforme nos sociétés et construit des ponts entre nos cultures. À travers elles, c’est tout un héritage de courage, d’innovation et de persévérance que nous célébrons et que nous souhaitons transmettre aux générations futures. »
Denis BOUCLON a complété ces propos en soulignant la portée symbolique de ces distinctions : « Le Prix Makéda n’est pas simplement une distinction honorifique. Il porte en lui toute la charge historique et culturelle d’un héritage africain riche et puissant. Makéda, la Reine de Saba, symbolise parfaitement cette alliance de sagesse, d’intelligence stratégique et d’audace que nous célébrons aujourd’hui. »
Un programme riche et diversifié reflétant une vision commune
Le programme de la journée, élaboré conjointement par la Présidente et le Secrétaire Général, a été conçu pour offrir aux participants une expérience immersive et inspirante. Les deux tables rondes « Success Stories : Audace & Ambition » ont mis en lumière des parcours féminins remarquables, illustrant la diversité et la richesse des trajectoires des femmes leaders issues des diasporas africaines.
La première table ronde, axée sur l’entrepreneuriat et l’innovation, a réuni des fondatrices de startups et des dirigeantes d’entreprises qui ont partagé leurs expériences de création et de développement de projets innovants dans des secteurs variés. La seconde, consacrée aux parcours institution
Denis BOUCLON a assuré l’animation de ces tables rondes, favorisant un dialogue constructif entre intervenantes et public. « Notre objectif était de créer des moments d’échange authentiques, où l’expertise et l’expérience de chacune puissent nourrir une réflexion collective sur les défis et les opportunités du leadership féminin dans nos contextes culturels spécifiques, » a-t-il expliqué. « Nous avons délibérément choisi des profils diversifiés en termes de secteurs d’activité, d’âge et d’origines géographiques afin d’illustrer la pluralité des expressions du leadership. »
Les ateliers « Tour du monde : Leadership & Culture« , coordonnés par l’équipe du HCDAF sous la supervision conjointe de Mme KAAOUT et M. BOUCLON, ont permis d’explorer les spécificités du leadership féminin à travers différentes cultures africaines et arabes. Ces ateliers interactifs ont été conçus selon une approche participative, invitant les participants à partager leurs propres expériences et perceptions du leadership dans leurs contextes culturels respectifs.
« Ces ateliers reflètent notre conviction que le leadership ne peut être appréhendé à travers un prisme unique, » a expliqué Mme KAAOUT. « Il s’exprime différemment selon les contextes culturels, et cette diversité constitue une richesse que nous devons explorer et valoriser. Le modèle occidental du leadership n’est qu’une expression parmi d’autres, et les traditions africaines et arabes ont beaucoup à nous apprendre sur des formes alternatives de leadership, particulièrement au féminin. »
Cette approche interculturelle a été particulièrement appréciée des participants, offrant des perspectives nouvelles sur les modèles de leadership adaptés aux réalités contemporaines. Les ateliers ont également permis d’aborder des questions sensibles comme les obstacles culturels spécifiques rencontrés par les femmes leaders et les stratégies développées pour les surmonter.
Le Rallye pour le Leadership au Féminin : une initiative audacieuse et symbolique
L’une des annonces phares de l’événement a été le lancement d’un rallye féminin dans le désert marocain prévu pour juin 2025, sous le parrainage de Christian Ebong, pilote automobile franco-camerounais de renom.
Cette initiative, fruit d’une vision partagée entre la Présidente et le Secrétaire Général, vise à promouvoir le leadership féminin dans un domaine traditionnellement masculin et à créer des ponts entre les cultures. Le rallye traversera plusieurs régions emblématiques du Maroc, créant ainsi un parcours symbolique entre différentes traditions et paysages culturels.
Lors de l’annonce, Mme KAAOUT a souligné : « Ce rallye représente parfaitement les valeurs que nous défendons : audace, détermination et excellence. Il offre un terrain d’expression concret à ces qualités de leadership que nous cherchons à promouvoir. Au-delà de la performance sportive, c’est toute une démarche de dépassement de soi et de solidarité que nous souhaitons mettre en avant. Les participantes devront faire face à des défis techniques et logistiques qui solliciteront leurs capacités d’adaptation, de prise de décision et de travail en équipe – autant de compétences essentielles au leadership. »
M. BOUCLON a précisé les modalités opérationnelles de ce projet ambitieux : « Nous avons conçu ce rallye comme une expérience transformatrice, rassemblant des femmes d’horizons divers autour d’un défi commun, incarnant ainsi l’esprit même du Prix Makéda. Chaque équipe sera composée de deux femmes issues de milieux professionnels et culturels différents, créant ainsi des binômes interculturels qui devront apprendre à collaborer efficacement face aux défis du terrain. »
Christian Ebong, parrain de l’initiative, a apporté son expertise technique dans la conception du parcours et des épreuves. « Ce rallye ne se contentera pas de reproduire les formats traditionnels, » a-t-il expliqué. « Nous avons intégré des dimensions culturelles et sociétales uniques, avec des étapes dans des villages où les équipages participeront à des projets communautaires en collaboration avec des associations locales de femmes. »
Le projet prévoit la participation de vingt équipages, soit quarante femmes issues de différents horizons professionnels et culturels, créant ainsi une véritable communauté internationale unie autour de valeurs communes. Un programme de préparation et de formation sera mis en place dans les mois précédant l’événement, comprenant des modules techniques mais aussi des sessions dédiées au leadership et à la communication interculturelle.
« Ce rallye sera bien plus qu’une compétition sportive, » a insisté Mme KAAOUT. « Il incarnera cette alliance unique entre performance individuelle et impact collectif qui caractérise le leadership au féminin que nous promouvons. Chaque kilomètre parcouru sera un message adressé à toutes celles qui doutent encore de leur capacité à investir des territoires traditionnellement masculins. »
Des moments culturels forts célébrant la diversité et le dialogue
La dimension culturelle, élément central de la vision du HCDAF portée par Mme KAAOUT, s’est exprimée à travers plusieurs initiatives remarquables qui ont ponctué la journée et offert aux participants des moments de découverte et d’échange privilégiés.
Une exposition d’art photographique intitulée « Regards de femmes » a été spécialement conçue pour l’événement, mettant en valeur le travail de six artistes féminines arabo-africaines dont les œuvres explorent les thématiques de l’identité, de la tradition et de la modernité. La curation de cette exposition a été supervisée par la Présidente avec l’appui technique du Secrétariat Général.
« L’art est un langage universel qui transcende les frontières culturelles et linguistiques, » a expliqué Mme KAAOUT lors de l’inauguration. « À travers le regard de ces artistes, nous découvrons une multiplicité de perspectives sur les réalités féminines contemporaines. Ces œuvres nous invitent à questionner nos perceptions et à enrichir notre compréhension de ce que signifie être une femme dans nos sociétés actuelles. »
Denis BOUCLON a souligné l’importance de cette dimension artistique dans l’approche globale du HCDAF : « La culture n’est pas un simple ornement ou un divertissement périphérique à notre mission. Elle est au cœur même de notre conception du développement et du leadership. Ces expressions artistiques nous offrent des clés de compréhension essentielles sur les enjeux identitaires et sociétaux qui traversent nos communautés. »
Des prestations artistiques soigneusement sélectionnées ont également rythmé la journée, illustrant les ponts entre traditions africaines et arabes. Une performance de musique fusion mêlant instruments traditionnels d’Afrique de l’Ouest et du Maghreb a particulièrement marqué les esprits, tout comme une démonstration de danse contemporaine inspirée des mouvements traditionnels de différentes régions d’Afrique.
« Ces expressions artistiques ne sont pas de simples interludes divertissants, » a commenté M. BOUCLON. « Elles incarnent cette capacité d’innovation par le dialogue entre tradition et modernité que nous cherchons à promouvoir dans tous les domaines. »
Un moment particulièrement émouvant a été le partage interculturel lors du Ftour (rupture du jeûne), initiative pensée conjointement par la Présidence et le Secrétariat Général pour souligner la dimension inclusive de l’événement, particulièrement pertinente en cette période du Ramadan. Ce repas convivial a réuni l’ensemble des participants dans un esprit de fraternité et de partage qui transcendait les appartenances religieuses et culturelles.
« Ce moment de partage incarne parfaitement l’esprit de notre institution, » a souligné Rachida KAAOUT. « La culture est un vecteur puissant d’émancipation et de dialogue. Elle nous permet de célébrer nos différences tout en nous rappelant notre humanité commune. Ces expressions artistiques nous permettent de célébrer les talents féminins tout en renforçant les liens entre nos communautés. »
Une vision stratégique partagée pour l’avenir du HCDAF
En marge de l’événement, Rachida KAAOUT et Denis BOUCLON ont présenté conjointement la feuille de route de la Commission Femmes du HCDAF, un projet stratégique élaboré sous la direction de la Présidente avec la contribution active du Secrétaire Général.
Cette présentation a permis de situer le Women’s Summit dans une perspective plus large, comme l’élément inaugurant une stratégie ambitieuse et structurée en faveur du leadership féminin au sein des diasporas africaines. Mme KAAOUT a exposé la vision globale qui sous-tend cette feuille de route : « Notre approche repose sur trois piliers fondamentaux : la reconnaissance des talents et des compétences, le renforcement des capacités à travers des programmes de formation adaptés, et la création de réseaux de solidarité et de collaboration entre femmes leaders. »
M. BOUCLON a détaillé la structure opérationnelle qui permettra de concrétiser cette vision : « Nous avons identifié cinq axes d’intervention prioritaires, chacun doté d’objectifs mesurables et d’indicateurs de performance précis. Cette approche nous permettra d’évaluer régulièrement l’impact de nos actions et d’ajuster nos stratégies en conséquence. »
Cette feuille de route ambitieuse définit les orientations prioritaires pour les prochaines années, avec un accent particulier sur :
- Le développement de programmes de mentorat destinés aux jeunes femmes issues des diasporas africaines, avec un objectif de 200 binômes mentor-mentorée d’ici fin 2026
- La création d’un réseau international de femmes leaders pouvant servir de modèles et d’ambassadrices, avec des antennes dans 15 pays africains et européens
- L’élaboration d’initiatives économiques visant à renforcer l’entrepreneuriat féminin, notamment à travers un fonds d’investissement dédié aux projets portés par des femmes
- La mise en place de partenariats stratégiques avec des institutions françaises et africaines, tant publiques que privées, pour amplifier l’impact des actions menées
- Le développement d’un programme de recherche sur le leadership féminin en contexte interculturel, en collaboration avec des universités françaises et africaines
« Ce premier Women’s Summit n’est que le début d’une démarche structurelle et pérenne, » a affirmé Mme KAAOUT. « Notre vision est de bâtir un écosystème complet qui accompagne l’émergence d’un leadership féminin fort au sein de nos communautés. Nous sommes convaincus que ces femmes leaders seront des actrices déterminantes dans le développement économique et social de nos pays d’origine tout en contribuant activement à la société française. »
M. BOUCLON a complété cette présentation en détaillant les aspects opérationnels : « Nous avons conçu un plan d’action concret qui traduit cette vision en réalisations tangibles, avec des objectifs précis et mesurables pour les années à venir. Chaque initiative s’inscrit dans une logique d’impact durable et de transformation systémique des représentations et des pratiques en matière de leadership. »
La présentation a également mis en lumière l’importance des partenariats stratégiques dans la réalisation de cette vision. « Aucune organisation ne peut prétendre transformer seule des réalités aussi complexes, » a souligné Mme KAAOUT. « Notre approche repose sur la création d’alliances avec des acteurs publics, privés et associatifs partageant notre vision et nos valeurs. »
Une dynamique collaborative au service d’une ambition commune
Tout au long de la journée, la complémentarité entre Rachida KAAOUT et Denis BOUCLON s’est manifestée dans leur approche coordonnée de l’événement. Cette collaboration harmonieuse entre la Présidence et le Secrétariat Général illustre parfaitement le modèle de leadership partagé que promeut le HCDAF.
Comme l’a observé l’une des participantes, responsable d’une association communautaire : « Ce qui m’a frappée, c’est la fluidité de leur collaboration. On sent une vision commune traduite en actions cohérentes, chacun apportant sa sensibilité et son expertise particulière. C’est un modèle inspirant de leadership collaboratif. »
Cette dynamique reflète l’approche globale du HCDAF face aux enjeux complexes qui concernent les diasporas africaines. « Notre institution s’est construite sur la conviction que les défis contemporains exigent des approches multidimensionnelles, » a expliqué Mme KAAOUT lors d’un échange informel. « Le leadership que nous promouvons est par essence collaboratif, inclusif et adaptatif. »
M. BOUCLON a confirmé cette philosophie : « Notre efficacité repose sur notre capacité à mobiliser des compétences diverses et complémentaires autour d’objectifs communs. La Présidente définit la vision stratégique et les orientations fondamentales, que j’ai ensuite la responsabilité de traduire en dispositifs opérationnels concrets, en m’appuyant sur l’expertise de nos équipes. »
Un bilan unanimement salué et des perspectives prometteuses
Cette première édition du HCDAF Women’s Summit, fruit de l’engagement conjoint de Rachida KAAOUT et Denis BOUCLON et de leurs équipes respectives, a été unanimement saluée par les participants et les partenaires institutionnels présents.
La représentante d’un important groupe bancaire partenaire de l’événement a particulièrement apprécié la qualité des échanges : « Ce sommet se distingue par la profondeur des réflexions proposées et la diversité des perspectives. On est loin des discours convenus sur le leadership féminin. Il y a ici une véritable ambition intellectuelle doublée d’un pragmatisme rafraîchissant. »
Une jeune entrepreneure participante a souligné l’impact inspirationnel de la journée : « Je repars avec une énergie démultipliée et des connexions précieuses. Les modèles présentés aujourd’hui m’ont convaincue que mes ambitions sont légitimes et réalisables, malgré les obstacles culturels que je peux rencontrer. »
Au-delà du succès immédiat de l’événement, c’est toute la vision stratégique portée par la Présidente et le Secrétaire Général qui se trouve confortée : celle d’un HCDAF pleinement engagé dans la valorisation des talents et des compétences issues des diasporas africaines, particulièrement des femmes dont le potentiel de leadership demeure encore trop souvent sous-exploité.
Comme l’a souligné Mme KAAOUT dans son discours de clôture : « Le véritable succès de cette journée réside dans sa capacité à créer des liens, à nourrir des ambitions et à ouvrir des perspectives nouvelles pour toutes ces femmes qui portent en elles l’avenir de nos communautés. Nous avons aujourd’hui posé la première pierre d’un édifice ambitieux dont la construction nous engagera collectivement dans les années à venir. »
Denis BOUCLON a conclu en annonçant la pérennisation de l’initiative : « Forts de ce premier succès, nous sommes heureux d’annoncer que le HCDAF Women’s Summit deviendra un rendez-vous annuel, avec une deuxième édition déjà programmée pour mars 2026. D’ici là, plusieurs initiatives issues des réflexions de cette journée seront lancées, à commencer par notre rallye pour le leadership au féminin en juin prochain. »
Les échos positifs recueillis auprès des participants et des médias laissent présager un avenir prometteur pour cette initiative appelée à s’inscrire dans la durée, confirmant ainsi le rôle central du HCDAF dans le paysage des relations franco-africaines et dans la promotion d’un leadership féminin audacieux, inclusif et transformateur.